A l’approche des opérations de distribution de logements sociaux

Le wali Installe deux cellules de recensement des familles classés en ligne rouge et ceux des bidonvilles

Dans le cadre du suivi des différentes opérations de contrôles des familles demandeurs de logements sociaux relevant du vieux bâtis en compagnie de ceux des constructions illicites des différents bidons ville de la commune d’Oran et afin de mettre un terme aux différents dépassements des opportunistes qui profitent de la situation actuelle des différentes opérations de recensements des familles sinistrés classé en ligne rouge en compagnie de ceux des bidons ville pour s’inscrire davantage en vue de bénéficier d’un logement sociale,le wali d’0ran Messaoud Djari à organisé avant hier une réunion d’installation de deux cellules de recensement des familles sinistrés issus des immeubles en ruines en compagnie de ceux des bidons ville des quartiers de la commune d’Oran.La première cellule se charge de recenser les familles habitant au  niveau des anciens immeubles menaçant ruine et classés dans la liste  rouge de la commune et qui ont été inspectés par le centre d’expertise et de diagnostic des services de contrôle technique et après mise à jour des données concernant les familles par les services techniques. Quant à la seconde cellule, elle se charge de recenser les familles occupant les bidonvilles au niveau du territoire de la commune, selon les précisions d’une source bien informée au niveau de la wilaya d’Oran. Notons dans ce contexte que les deux cellules en question regroupent des représentants des différents services  concernés, tels que la gendarmerie nationale, la sûreté de la wilaya, la protection civile, les services communaux, la direction du logement et l’office de promotion et de gestion immobilière (OPGI). Il est utile de souligner dans ce volet que la décision de l’installation de ces deux cellules intervient suite aux effondrements partiels enregistrés au niveau d’immeubles anciens ces derniers temps dans la commune d’Oran, dont la plus grande partie de son parc immobilier  a été construit durant le passage des différentes civilisations, à savoir espagnole, ottomane et française, il y a déjà des siècles. A cause de l’absence totale d’entretien durant ces longues périodes et du manque de civisme de certains citoyens, ces bâtisses qui devraient être classées au patrimoine culturelle de la commune d’Oran, sont entrains de s’effondrer en ruine mettant ainsi en péril la vie de leurs occupants.
Ce patrimoine architectural et urbain est sans doute en voie de disparition au grand regret des anciens habitants de cette ville, autrefois classée parmi les plus belles cités du bassin
méditerranéen.
Rafik

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