Les membres de l’associations de la promotion du tourisme d’excellence tirent la sonnette d’alarme et interpellent le président de la république

Les membres de l’association de la promotion du tourisme par excellence en compagnie des associations écologiques et les citoyens résidents de la plage de trouville relevant de la commune de Ain Turck ,ont organisés avant hier une manifestation durant toute la matinée au niveau de la plage de trouville relevant de la commune d’Ain Turck pour dénoncer la fermeture des accès des plages par des murs en béton les murs « d’El Catras  » qu’ils qualifient d’arbitraire voir, dégradation du littoral oranais .Ces murs en béton devraient être érigés sur tous les accès des plages de la daïra d’Aïn El Turck à cause de la Harga.Tous les Oranais sont consternés par le caractère, estiment-ils, « absurde et surréaliste » d’une telle solution. Certains y voient une tentative de détournement du foncier maritime .Une entreprise privée aurait été chargée de poser ces murs en béton préfabriqués de plusieurs tonnes.Selon les rares informations qui ont fuité, le projet concerne l’ensemble des plages de la côte ouest, de St Roch jusqu’aux Andalouses. Un silence suspect entoure en revanche l’identité du maître de l’ouvrage.Ni l’APC de Aïn El Turck, ni les services de la wilaya d’Oran n’ont daigné communiquer sur ces travaux ni même réagir à l’indignation de la population. Même les représentants de la société civile, à l’image du « collectif de L’association de la promotion du tourisme par excellence » composée d’une vingtaine d’associations locales semblent être dans le flou total.Le projet en cours de réalisation.Face à cette situation inacceptable , le collectif en question prévoit de saisir par écrit le Président de la République. Les images des travaux controversés qui ont circulé sur les réseaux sociaux ont provoqué un véritable tollé.Baptisé « mur de la honte », le projet est qualifié de tous les maux. Des citoyens ont appelé à saisir la justice en se constituant partie civile. C’est un crime écologique et environnementale qui ne doit pas rester impuni. C’est un crime contre l’esthétique et contre le bon sens même, » peut-on lire comme commentaires en réaction au projet.Une presidente d’une association de l’environnement à Oran et ancienne députée à Oran pour ne citer de nom n’a pas admis ces fermetures des plages qui selon elle,il y a d’autres solutions pour sécuriser les zones à l’image d’un spécialiste en écologie et environnement avait présenté un type de schéma type de fermeture des plages par
des barrages flottants anti intrusion.Une video des intervenants a été diffusé sur les reseaux sociaux
qu’un tel projet « n’ait pas été soumis à consultation auprès des habitants potentiellement impactés ni auprès des représentants de la société civile. » Une méprise, a-t-elle souligné, qui ne saurait s’accommoder avec les principes de « la démocratie participative » prônée par les pouvoirs publics.Nous sommes pour la lutte contre ce phénomène, mais il faut reconnaître que masquer le principal atout de la région par des murs en béton c’est insensé. il y a d’autres méthodes pour juguler ce phénomène », diront des citoyens rencontrés sur les lieux du chantier où s’effectue l’opération de fermeture des deux accès de Trouville. « C’est une situation anormale et insupportable.Selon les informations recueillis auprès de quelques membres de la société civile nous ont fait part de la décision du wali d’Oran Said Sayoud qui s’est déplacé sur les lieux pour constater de visu l’operation de fermeture leur a demander de lui fournir d’autres solutions pour lutter contre la harga qui a prie de l’ampleur au niveau de l’ensemble des plages de la corniche Oranaise sachant bien qu’un jeune passeur de Ain Turck pour ne citer de nom à force de ces differentes traversée clandestines il embarqué sans GPS durant la journée son point de repair le soleil et la nuit la lune a fait l’objet d’arrestation par les services sécuritaires.
MH