Hier, mardi la présidence française a confirmé que le président Emmanuel Macron « regrette les divergences et les malentendus » qui ont suivi ses déclarations concernant l’Algérie, soulignant qu’il « a le plus grand respect pour la nation algérienne et son histoire », selon les médias Français.

Selon l’Elysée, « les récentes déclarations du président français ont exacerbé les tensions avec l’Algérie ». A la fois, il « souhaite que les relations bilatérales entre les deux pays se développent au profit des deux peuples, ainsi que les grands défis au niveau régional, notamment en ce qui concerne le dossier libyen ».

Dans ce contexte, la présidence française a annoncé une invitation au président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à assister à la conférence de vendredi pour aider la Libye à redevenir un pays stable, notamment en préparant les élections présidentielles en Libye prévues le 24 décembre.

L’Elysée a déclaré que « l’Algérie est un acteur majeur dans la région, et le président Macron souhaite la participation du président Tebboune à cette conférence ».

L-I