P. Sanchez (PSOE) troque l’amnistie aux catalans pour assoir son pouvoir. En effet, le deal du Premier ministre est construit sur une loi d’amnistie qui sera promulguée pour cesser les poursuites judiciaires à l’encontre des indépendantistes condamnés et en fuite et l’ouverture de négociations portant sur la question de la reconnaissance de la catalogne comme nation. Cette démarche est considérée comme un coup d’état constitutionnel par la droit populiste menée par N. Feijoo (PP), qui a mobilisé des milliers d’espagnols dans toutes les villes du pays.