Ibtissem LAMRI.

La révolution quantique a jeté les bases d’une grande partie de la science moderne, y compris le domaine des ordinateurs et d’Internet ; En raison de sa grande capacité à traiter une grande quantité de problèmes en peu de temps que les ordinateurs traditionnels demandent généralement des mois d’analyse, en plus d’un temps de traitement important, et pour cette grande capacité à traiter l’information, le besoin était plus grand de sécuriser ces données produit sur Internet dans ce qu’on appelle « Quantum Internet Security » « .

L’Internet quantique fait référence au réseau qui permet aux ordinateurs quantiques d’échanger des informations entre eux dans un environnement dans lequel les lois de la physique de la mécanique quantique sont exploitées d’un point de vue pratique, et d’un point de vue théorique, il confère à Internet une capacités impossibles à mettre en œuvre avec les applications informatiques traditionnelles actuelles.

Les acteurs malveillants peuvent utiliser ces technologies pour révéler les secrets et les informations stockées sur l’Internet quantique et les ordinateurs quantiques ; qui pourraient perturber les marchés financiers et permettre aux organisations terroristes d’obtenir des informations sensibles ; Il est donc très important de sécuriser davantage ce réseau et les appareils sur lesquels il fonctionne.

Avec l’utilisation de l’Internet quantique, il est devenu difficile de retracer les messages électroniques, de découvrir la source des menaces de sécurité potentielles et de vérifier les intentions des utilisateurs de l’Internet quantique, même par les services de renseignement mondiaux les plus puissants. Là où ces réseaux couvrent toutes les activités et les rendent complètement anonymes aux services de sécurité dans ce qu’on appelle « l’informatique quantique aveugle » dans un mode de fonctionnement proche du travail du Dark Web, et tout cela reste dépendant de l’utilisateur de la technologie, qui détermine le but pour lequel le travail a été effectué au moyen de la technologie Quantité.